ελληνική μουσική
    721 online   ·  210.832 μέλη
    Booster
    10.04.2005, 01:06
    Mes amis/ies βάζετε και κανένα τίτλο να ξέρουμε πιο τραγουδάκι είναι
    Ενας ύμνος για ΕΚΕΙΝΗ. Μια μελωδία που ανεβαίνει συνέχεια και σε κάνει να νοιώθεις υπέροχα. Το πιο γνωστό και το πιο όμορφο τραγούδι του Didier Barbellivien


    Elle

    Elle a la peau couleur du soleil
    Elle a le secret des abeilles
    Elle sait comment faire des enfants
    Elle, c'est un avion blanc dans le ciel
    Elle a dιjΰ brϋlι ses ailes
    Elle est nιe dans un ouragan

    Elle, je l'ai croquιe comme une pomme
    Elle n'en veut parler ΰ personne
    Elle a les yeux de l'ocιan
    Elle, moitiι Venise et moitiι Rome
    Elle a dιjΰ aimι des hommes
    Elle a le cœur comme un diamant

    Elle, c'est un loup, une tourterelle
    C'est un animal ιtonnant
    Elle moitiι velours, moitiι dentelle
    Toujours cruelle et cependant
    C'est une lady lady elle
    C'est une femme tout simplement

    Elle, je connais ses chapeaux de paille
    Elle a grandi ΰ la campagne
    Elle a le sourire de ces gens
    Elle, en toutes ces soirιes de la ville
    Elle a le feeling et le style
    Elle fait tout ηa naturellement

    Elle, c'est un loup, une tourterelle
    C'est un animal ιtonnant
    Elle moitiι velours, moitiι dentelle
    Toujours cruelle et cependant
    C'est une lady lady elle
    C'est une femme tout simplement

    Elle a la peau couleur du soleil
    Elle a des larmes au goϋt de miel
    Elle pleure comme pleure les enfants
    Elle, c'est le plus violent des poθmes
    Elle n'a pas peur de dire je t'aime
    Elle fait l'amour exclusivement

    Elle, c'est un loup, une tourterelle
    C'est un animal ιtonnant
    Elle moitiι velours, moitiι dentelle
    Toujours cruelle et cependant
    C'est une lady lady elle
    C'est une femme tout simplement

    Haroulinda
    11.04.2005, 12:14
    Patricia Kass - Il me dit que je suis belle

    Et quand le temps se lasse
    De n'κtre que tuι
    Plus une seconde passe,
    Dans les vies d'uniformitι
    Quand de peine en mιfiance,
    De larmes en plus jamais
    Puis de dιpit en dιfiance
    On apprend ΰ se rιsigner
    Viennent les heures sombres
    Oω tout peut enfin s'allumer
    Ou quand les vies ne sont plus qu'ombres
    Restent nos rκves ΰ inventer

    Il me dit que je suis belle
    Et qu'il n'attendait que moi
    Il me dit que je suis celle
    Juste faite pour ses bras
    Il parle comme on caresse
    De mots qui n'existent pas
    De toujours et de tendresse
    Et je n'entends que sa voix

    Eviter les regards, prendre cet air absent
    Celui qu'ont les gens sur les boul'vards
    Cet air qui les rend transparents
    Apprendre ΰ tourner les yeux
    Devant les gens qui s'aiment
    Eviter tous ceux qui marchent ΰ deux
    Ceux qui s'embrassent ΰ perdre haleine
    Y a-t-il un soir, un moment
    Oω l'on se dit c'est plus pour moi
    Tous les mots doux, les coups de sang,
    Mais dans mes rκves, j'y ai droit

    Il me dit que je suis belle
    Et qu'il n'attendait que moi
    Il me dit que je suis celle
    Juste faite pour ses bras
    Des mensonges et des betises
    Qu'un enfant ne croirait pas
    Mais les nuits sont mes ιglises
    Et dans mes rκves j'y crois

    Il me dit que je suis belle...

    Je le vois courir vers moi
    Ses mains me frτlent et m'entraξnent
    C'est beau comme au cinιma
    Plus de trahison, de peines
    Mon scιnario n'en veut pas
    Il me dit que je suis reine
    Et pauvre de moi, j'y crois
    Hmm, pauvre de moi, j'y crois


    pauvre de toi!

    Γραμμένο και Υπογραμμένο από μένα, την Χαρουλίντα... και για όσους δεν με ξέρετε? TOUGH! Εγώ με ξέρω!


    [ Το μήνυμα επεξεργάστηκε από: Haroulinda on 11-04-2005 12:15 ]
    SOKRATISKARAVIDAS
    11.04.2005, 14:38

    Ιdith Piaf


    Je revois la ville en fκte et en dιlire
    Suffoquant sous le soleil et sous la joie
    Et j'entends dans la musique les cris, les rires
    Qui ιclatent et rebondissent autour de moi
    Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
    Ιtourdie, dιsemparιe, je reste lΰ
    Quand soudain, je me retourne, il se recule,
    Et la foule vient me jeter entre ses bras...
    Emportιs par la foule qui nous traξne
    Nous entraξne
    Ιcrasιs l'un contre l'autre
    Nous ne formons qu'un seul corps
    Et le flot sans effort
    Nous pousse, enchaξnιs l'un et l'autre
    Et nous laisse tous deux
    Ιpanouis, enivrιs et heureux.
    Entraξnιs par la foule qui s'ιlance
    Et qui danse
    Une folle farandole
    Nos deux mains restent soudιes
    Et parfois soulevιs
    Nos deux corps enlacιs s'envolent
    Et retombent tous deux
    Ιpanouis, enivrιs et heureux...
    Et la joie ιclaboussιe par son sourire
    Me transperce et rejaillit au fond de moi
    Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
    Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
    Emportιs par la foule qui nous traξne
    Nous entraξne
    Nous ιloigne l'un de l'autre
    Je lutte et je me dιbats
    Mais le son de sa voix
    S'ιtouffe dans les rires des autres
    Et je crie de douleur, de fureur et de rage
    Et je pleure...
    Entraξnιe par la foule qui s'ιlance
    Et qui danse
    Une folle farandole
    Je suis emportιe au loin
    Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
    L'homme qu'elle m'avait donnι
    Et que je n'ai jamais retrouvι...


    hamenos
    18.04.2005, 18:42
    coucou! Alain Souchon για απογευματινό
    Y a d'la rumba dans l'air

    Y a d'la rumba dans l'air
    Le smoking de travers
    J'te suis pas dans cett' galθr'
    Ta vie tu peux pas la r'fair'
    Tu cherch's des morceaux d'hier pιper's
    Dans des gravats d'avant guerr'
    L'Casino c'est qu'un tas d'pierr's
    Ta vie tu peux pas la r'fair'

    Branche un peu tes ιcouteurs par ici
    La mer est dιjΰ repartie
    Le vieux casino dιmoli, c'est fini
    Pιper' t'aurais pas comme un' vieille nostalgie
    De guili guili Bugatti
    Des oh ! la la la des soirιes d'gala Riviera

    {Refrain}

    Fermιs les yeux des grand's fill's bleu marin's
    Tout's alanguies pour nuits de Chine
    Sur banquette de molesquine des Limousin's
    Ecoutez l'histoire entre Trouville et Dinard
    D'un long baiser fini, c'est trop tard
    Les mains sur l'satin caress' du petit matin .. {Chagrin}


    Booster
    19.04.2005, 00:50
    Κάποτε δεν υπήρχε πάρτυ που να μη χορεύαμε με τον Adamo. Τραγουδάει ακόμα και σήμερα με αυτή τη παράξενη βραχνή φωνή. Για όσους τον θυμούνται ίσως το πιο γνωστό του τραγούδι.

    Inch'Allah

    J'ai vu l'orient dans son ιcrin
    Avec la lune pour banniθre
    Et je comptais en un quatrain
    Chanter au monde sa lumiθre

    Mais quand j'ai vu Jιrusalem
    Coquelicot sur un rocher
    J'ai entendu un requiem
    Quand sur lui je me suis penchι

    Ne vois-tu pas humble chapelle
    Toi qui murmures paix sur la terre
    Que les oiseaux cachent de leurs ailes
    Ces lettres de feu danger frontiθre

    Le chemin mθne ΰ la fontaine
    Tu voudrais bien remplir ton seau
    Arrκte-toi Marie-Madeleine
    Pour eux ton corps ne vaut pas l'eau

    Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah

    Et l'olivier pleure son ombre
    Sa tendre ιpouse son amie
    Qui repose sous les dιcombres
    Prisonniθres en terre ennemie

    Sur une ιpine de barbelιs
    Le papillon guette la rose
    Les gens sont si ιcervelιs
    Qu'ils me rιpudieront si j'ose

    Dieu de l'enfer ou Dieu du ciel
    Toi qui te trouves ou bon te semble
    Sur cette terre d'Israλl
    Il y a des enfants qui tremblent

    Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah

    Les femmes tombent sous l'orage
    Demain le sang sera lave
    La route est faite de courage
    Une femme pour un pavι

    Mais oui j'ai vu Jιrusalem
    Coquelicot sur un rocher
    J'entends toujours ce requiem
    Lorsque sur lui je suis penchι

    Requiem pour 6 millions d'βmes
    Qui n'ont pas leur mausolιe de marbre
    Et qui malgrι le sable infβme
    On fait pousser 6 millions d'arbres

    Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah

    Booster
    19.04.2005, 01:08
    Και ο ύμνος των Γάλλων καλλιτεχνών με τα μπλε μπερεδάκια στη Μονμάρτη. Μύρισε Παρίσι παιδιά. Από το μοναδικό Charles Aznavour

    La bohθme
    Paroles: Charles Aznavour
    Musique: Jacques Plante

    Je vous parle d'un temps
    Que les moins de vingt ans
    Ne peuvent pas connaξtre
    Montmartre en ce temps-lΰ
    Accrochait ses lilas
    Jusque sous nos fenκtres
    Et si l'humble garni
    Qui nous servait de nid
    Ne payait pas de mine
    C'est lΰ qu'on s'est connu
    Moi qui criait famine
    Et toi qui posais nue

    La bohθme, la bohθme
    Ηa voulait dire on est heureux
    La bohθme, la bohθme
    Nous ne mangions qu'un jour sur deux

    Dans les cafιs voisins
    Nous ιtions quelques-uns
    Qui attendions la gloire
    Et bien que misιreux
    Avec le ventre creux
    Nous ne cessions d'y croire
    Et quand quelque bistro
    Contre un bon repas chaud
    Nous prenait une toile
    Nous rιcitions des vers
    Groupιs autour du poκle
    En oubliant l'hiver

    La bohθme, la bohθme
    Ηa voulait dire tu es jolie
    La bohθme, la bohθme
    Et nous avions tous du gιnie

    Souvent il m'arrivait
    Devant mon chevalet
    De passer des nuits blanches
    Retouchant le dessin
    De la ligne d'un sein
    Du galbe d'une hanche
    Et ce n'est qu'au matin
    Qu'on s'asseyait enfin
    Devant un cafι-crθme
    Epuisιs mais ravis
    Fallait-il que l'on s'aime
    Et qu'on aime la vie

    La bohθme, la bohθme
    Ηa voulait dire on a vingt ans
    La bohθme, la bohθme
    Et nous vivions de l'air du temps

    Quand au hasard des jours
    Je m'en vais faire un tour
    A mon ancienne adresse
    Je ne reconnais plus
    Ni les murs, ni les rues
    Qui ont vu ma jeunesse
    En haut d'un escalier
    Je cherche l'atelier
    Dont plus rien ne subsiste
    Dans son nouveau dιcor
    Montmartre semble triste
    Et les lilas sont morts

    La bohθme, la bohθme
    On ιtait jeunes, on ιtait fous
    La bohθme, la bohθme
    Ηa ne veut plus rien dire du tout

    AlienP
    21.04.2005, 00:00
    αφιερώνω το παρακάτω του πολυ αγαπημένου μου Manu στον hamenos όχι για τους στίχους μα για το χορευτικό... και σε όποιον άλλον του αρέσει!

    Je ne t'aime plus
    Manu Chao

    Je ne T'aime plus
    Mon amour
    Je ne T'aime plus
    Tous les jours
    Parfois J'aimerais mourir
    Tellement J'ai voulu croire
    Parfois J'aimerais mourir
    Pour ne plus rien avoir
    Parfois J'aimerais mourir
    Pour plus jamais te voir
    Je ne T'aime plus
    Mon Amour
    Je ne T'aime plus
    Tous les jours
    Parfois J'aimerais mourir
    Tellement Y a plus D'espoir
    Parfois J'aimerais mourir
    Pour plus jamais te revoir
    Parfois J'aimerais mourir
    Pour ne plus rien savoir
    Je ne T'aime plus
    Mon amour
    Je ne T'aime plus
    Tous les jours...



    Haroulinda
    22.04.2005, 09:58
    Manon
    Serge Gainsbourg

    Manon
    Manon
    Non tu ne sais sur'ment pas Manon
    A quel point je hais
    Ce que tu es
    Sinon
    Manon
    Je t'aurais dιjΰ perdue Manon
    Perverse Manon
    Perfide Manon
    Il me faut t'aimer avec un autre
    Je le sais Manon
    Cruelle Manon
    Manon
    Manon
    Non tu ne sauras jamais Manon
    A quel point je hais
    Ce que tu es
    Au fond
    Manon
    Je dois avoir perdu la raison
    Je t'aime Manon


    AlienP
    22.04.2005, 10:20
    Λίγο πριν φύγω σας αφήνω γεια με τη Salsa του Bernard Lavilliers

    Tout le gang ιtait lΰ, ceux de Porto-Rico, ceux de Cuba
    Les maqueraux de Harlem, les revendeurs de coke ou de coca
    Ceux qui vivent au soleil, avec des femmes blanches dans les villas
    Et ceux qui mangent pas, sapιs comme des nababs ΰ l'Opιra

    La voilΰ

    C'est une latine de Manhattan, de la rιsine de macadam
    Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulθve, c'est la Salsa

    C'est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
    Les reins cambrιs au bon endroit, elle est superbe
    C'est la Salsa

    Une sauce mιlo de te quiero mucho et de cafard
    Une sauce mais lΰ c'est le Christ qui te saigne pour vingt dollars
    Une sauce mκlιe de beautι, de souplesse et de conga
    Une sauce lamιe comme la peau de la fille qui danse pour moi
    La Salsa

    C'est une latine de Manhattan, de la rιsine de macada
    Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulθve, c'est la Salsa


    C'est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
    Les reins cambrιs au bon endroit, elle est superbe
    C'est la Salsa

    Tout seul dans la nuit chaude, je la garde serrι contre mon coeur
    Malgrι la mort qui rode, chuchotant quelque chose ΰ son chauffeur
    Y'en a marre des palaces, elle s'en va faire des passes pour le panard
    Je la suis ΰ la trace, ramassant ses paillettes sur le trottoir

    C'est une latine de Manhattan, de la rιsine de macadam
    Un coup de fouet, de haut en bas, qui te soulθve, c'est la Salsa

    C'est une frangine portoricaine qui vit dans le Spanish Harlem
    Les reins cambrιs au bon endroit, elle est superbe
    C'est la Salsa

    Booster
    23.04.2005, 21:06
    Από τους πιο αγαπημένους Γαλλους ποιητές ο Jacques Prιvert μελοποιήθηκε πολλές φορές. Χιλιοτραγουδισμένο το τραγούδι αυτό έγινε κυρίως γνωστό με τον Yves Montand.

    Les feuilles mortes
    Paroles: Jacques Prιvert. Musique: Joseph Kosma

    Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
    Des jours heureux oω nous ιtions amis.
    En ce temps-lΰ la vie ιtait plus belle,
    Et le soleil plus brϋlant qu'aujourd'hui.
    Les feuilles mortes se ramassent ΰ la pelle.
    Tu vois, je n'ai pas oubliι...
    Les feuilles mortes se ramassent ΰ la pelle,
    Les souvenirs et les regrets aussi
    Et le vent du nord les emporte
    Dans la nuit froide de l'oubli.
    Tu vois, je n'ai pas oubliι
    La chanson que tu me chantais.

    {Refrain:}
    C'est une chanson qui nous ressemble.
    Toi, tu m'aimais et je t'aimais
    Et nous vivions tous deux ensemble,
    Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
    Mais la vie sιpare ceux qui s'aiment,
    Tout doucement, sans faire de bruit
    Et la mer efface sur le sable
    Les pas des amants dιsunis.

    Les feuilles mortes se ramassent ΰ la pelle,
    Les souvenirs et les regrets aussi
    Mais mon amour silencieux et fidθle
    Sourit toujours et remercie la vie.
    Je t'aimais tant, tu ιtais si jolie.
    Comment veux-tu que je t'oublie ?
    En ce temps-lΰ, la vie ιtait plus belle
    Et le soleil plus brϋlant qu'aujourd'hui.
    Tu ιtais ma plus douce amie
    Mais je n'ai que faire des regrets
    Et la chanson que tu chantais,
    Toujours, toujours je l'entendrai !


    Booster
    23.04.2005, 21:38
    Πανέμορφο αυτό το τραγούδι έγινε πολύ γνωστό στην αγγλική του έκδοση με τον τίτλο The windmills of your mind από τον Sting και τους Police και πρωτοακούστηκε στην ταινία "Υπόθεση Τόμας Κράουν" στην πρώτη της έκδοση με τον αξέχαστο Steve McQueen. Λίγοι γνωρίζουν ότι είναι γαλλικό τραγούδι με συνθέτη το ιερό τέρας της μουσικής που ακούει στο όνομα Michel Legrand. (Το έχω και σε μια συγκλονιστική έκδοση με τον Jose Feliciano)

    Les moulins de mon coeur
    paroles: Eddy Marnay
    musique: Michel Legrand
    chanteur:Michel Legrand

    Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
    Et qui laisse derriθre elle des milliers de ronds dans l'eau
    Comme un manθge de lune avec ses chevaux d'ιtoiles
    Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval,
    Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
    Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
    Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon coeur

    Comme un ιcheveau de laine entre les mains d'un enfant
    Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent
    Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goιlands,
    Sur des forκts de Norvθge, sur des moutons d'ocιan,
    Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
    Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
    Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon coeur

    Ce jour-lΰ prθs de la source Dieu sait ce que tu m'as dit
    Mais l'ιtι finit sa course, l'oiseau tomba de son nid
    Et voilΰ que sur le sable nos pas s'effacent dιjΰ
    Et je suis seul ΰ la table qui rιsonne sous mes doigts
    Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie
    Comme les chansons qui meurent aussitτt qu'on les oublie
    Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus
    Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux

    Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
    Et qui laisse derriθre elle des milliers de ronds dans l'eau
    Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom
    Tous les moulins de mon coeur


    Τιμής ένεκεν παραθέτω και τους αγγλικούς στίχους

    The windmills of your mind

    Round,
    Like a circle in a spiral
    Like a wheel within a wheel
    Never ending or beginning
    On an ever-spinning reel
    Like a snowball down a mountain
    Or a carnival balloon
    Like a carousel that's turning
    Running rings around the moon
    Like a clock whose hands are sweeping
    Past the minutes on it's face
    And the world is like an apple
    Whirling silently in space
    Like the circles that you find
    In the windmills of your mind

    Like a tunnel that you follow
    To a tunnel of it's own
    Down a hollow to a cavern
    Where the sun has never shone
    Like a door that keeps revolving
    In a half-forgotten dream
    Like the ripples from a pebble
    Someone tosses in a stream
    Like a clock whose hands are sweeping
    Past the minutes on it's face
    And the world is like an apple
    Whirling silently in space
    Like the circles that you find
    In the windmills of your mind

    Keys that jingle in your pocket
    Words that jangle in your head
    Why did summer go so quickly?
    Was it something that I said?
    Lovers walk along a shore
    And leave their footprints in the sand
    Was the sound of distant drumming
    Just the fingers of your hand?
    Pictures hanging in a hallway
    Or the fragment of a song
    Half-remembered names and faces
    But to whom do they belong?
    When you knew that it was over
    Were you suddenly aware
    That the autumn leaves were turning
    To the colour of her hair?

    Like a circle in a spiral
    Like a wheel within a wheel
    Never ending or beginning
    On an ever-spinning reel
    As the images unwind
    Like the circles that you find
    In the windmills of your mind


    Life is what happens to you while you’re busy making other plans




    [ Το μήνυμα επεξεργάστηκε από: Booster on 23-04-2005 21:48 ]